Sandrine Deville

Ici, deux formes ont été extraites, à deux moments distincts dans le temps de la mélodie jouée par la plante, et une troisième forme est issue d'un changement d'échelle, avec des percements de Voronoï.

Afin de montrer la section d'une des formes, celle-ci est aussi coupée en deux.

Ces sculptures matérialisent le mouvement figé en un instant "t" choisi, mais aussi l'invisible, elles montrent ce que l'oreille entend: une musique n'obéissant à aucune gamme, aucune mélodie, aucun rythme, traduction de données "data" du biorythme de la plante, Etre vivant à part entière.

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Nota Bene: pour cet enregistrement sonore, les sons de la plante sont très monotones; dans le projet prochain où des capteurs sont posés sur les feuilles d'une orchidée, les mélodies sont beaucoup plus variées, dues à diverses conditions qui ont influencées sur la plante. Dans certains cas, le son peut même s'interrompre, puis reprendre, la plante étant vivante.

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